Plan du théâtre
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Le théâtre de Montaudou

Adossé au puy de Montaudou sur la commune de Ceyrat, ce théâtre suburbain dominait la ville antique dont il n'était distant que d'1,5 km. C'était aussi un lieu de culte.

Il a été identifié en 2005 par Christian Le Barrier. Il s'agit du second théâtre connu en Auvergne  après celui de Néris-Les-Bains, agglomération secondaire dans l'Allier, mais du premier théâtre dans l'environnement de la capitale des Arvernes. En théorie, un autre théâtre devrait être situé au centre de la ville, mais celui-ci n'a pas encore été découvert.

Deux théâtres en un

Un premier théâtre, d'un diamètre de 51 m est édifié à la fin du Ier siècle ap. J.-C.  Il était bordé par une importante aire de circulation (l. : 14 m). Le théâtre est  agrandi dans la seconde moitié du  IIe siècle ap. J.-C. et son diamètre est porté à 81 m.  Le mur périphérique  du premier théâtre est alors arasé et recouvert par des talus de terre destinés à porter les nouveaux gradins en pierre. D'autres constructions ont été découvertes aux abords du théâtre, dont probablement un sanctuaire.

Un lieu de culte

Sa situation dominante et son orientation vers l'est lui permettent d'embrasser un vaste paysage englobant les Côtes de Clermont au nord où s'élevait un fanum, la ville antique, les monts du Forez à l'est et le plateau de Gergovie au sud, occupé par des sanctuaires.

Edifice de spectacle mais aussi lieu de culte, le théâtre de Montaudou participe ainsi pleinement à la mise en scène de la ville antique. Monument probablement visible depuis la voie du sud, il devait signifier aux voyageurs l'entrée de la capitale.

Par Hélène DARTEVELLE
Avec la collaboration de
Christian LE BARRIER
Le théâtre de Montaudou

Adossé au puy de Montaudou sur la commune de Ceyrat, ce théâtre suburbain dominait la ville antique dont il n'était distant que d'1,5 km. C'était aussi un lieu de culte.

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Le temple des Côtes

Culminant à 624 m, le sommet du plateau des Côtes de Clermont était occupé pendant la période gallo-romaine par un sanctuaire, qui dominait la ville d'Augustonemetum au nord. Découvert par Paul Eychart à la fin des années 1950, ce temple devait être associé à d'autres édifices publics, ainsi qu'à une petite agglomération développée en contrebas.

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La Source des Roches

Le  sanctuaire de plein air de La source des Roches à Chamalières est connu pour l'exceptionnelle série d'ex-voto qu'il a livré et plus récemment par la présence d'un bois sacré de chênes révélé par l'étude des pollens. Ces dépôts ont été pratiqués dès la fin du Ier s. av. J.-C. Dans l'état actuel de la recherche, ce sanctuaire est par conséquent le plus ancien connu dans le bassin de Clermont et qui a pu jouer un rôle dans la fondation d'Augustonemetum (le sanctuaire d'Auguste).

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Les thermes de Royat/Chamalières

En 2009, l'étude des thermes de Royat-Chamalières est à l'ordre du jour dans le cadre de l'étude menée sur la ville d'Augustonemetum et de ses abords. Un bilan documentaire est entrepris, assorti d'une étude du bâti sur l'unique piscine conservée (C, plan Petit). Un premier constat montre le déficit de la conservation des informations et la nécessité de la révision des anciennes restaurations.

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Le temple de Mercure

Il a été construit au milieu du IIe siècle ap. J.-C., au sommet du site exceptionnel du puy de Dôme, à 1435 m d'altitude. Il s'agit de l'un des plus grands sanctuaires de montagne de l'occident romain.

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Bibliographie

Glossaire

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